Analyse de cycle de vie de l’utilisation de biocarburants
Le but de cette étude additionnelle est l' évaluation de l’impact environnemental par l’utilisation de biocarburants. Cette forme de carburants peut être extraite de bois, paille ou déchets biologiques. D’abord le matériau est transformé en gaz synthétique dans un procès de gazéification. En suite les carburants sont synthétisés. Les biocarburants obtenus s’appellent aussi carburants de la deuxième génération ou BTL (biomass-to-liquid).
L’étude analysait les graminées géantes (miscanthus), les produits de short rotation forestry SRF (saule), la paille de blé et le bois forestier comme matière première. Les procédures se différent par des détails techniques comme par ex. la gazéification, les dimensions de l’installation, la gazéification centralisée ou décentralisée ou la quantité de l’électricité ou chaleur vendue comme produits secondaires. Ces données ont été complétées du point du vue de la combustion de carburant et ont été évaluées selon la systématique actuelle.
Comparé aux carburants fossiles, les carburants BTL atteignent une réduction remarquable concernant les émissions des gazes à effet de serre (28% à 69%) et les besoins d’énergie pas renouvelable (37% à 61%). Les résultats de cette étude n’attestent pourtant pas une réduction de CO2 tellement signifiante comme ceux des études précédentes, qui trouvaient une réduction de 90%.
Une évaluation de l’impact environnemental entier employant la méthode de Ecoindicator 99 (H,A) et de la saturation écologique montre un résultat moins favorable pour la plus part des méthodes de production que pour les carburants fossiles. Seulement l’utilisation de bois forestier obtient un impact environnemental plus bas. Employant la méthode de la saturation écologique, les impacts de cycle de vie entier de carburant BTL et de l’essence sont égaux, si le carburant BTL est produit des matériaux de SRF. L’évaluation employant l’Ecoindicator 99 estime un impact comparable pour les deux technologies, si le carburant BTL est produit des produits secondaires agricoles (par ex. la paille).
Principalement les résultats confirment la connaissance du écobilan sur les produits commercialisables, qui a trouvé, que l’utilisation des déchets, des résidus et du bois forestier cause un impact environnemental plus bas que les matières primaires agricoles. L’utilisation de la plante entière ne rends pas toujours un plus de carburants par hectare, parce que les pertes de transformation de ce procédure se montent à 30% et plus.
La production de carburants BTL est assujettit aux conflits d’objectif entre un rendement de face le plus grand possible et un impact environnemental bas. Souvent l’augmentation des rendements peut seulement être atteinte par un emploi élevé des engrais et pesticides. En résumé, l’image crée par les publications antérieures, qui suggèrent une amélioration écologique par l’utilisation des carburants BTL ou biocarburants secondaires, doit être relativisé. Les carburants synthétiques ne peuvent pas être jugés mieux (ou bien pire) que d’autre carburants renouvelables.
L’étude est publié sur le site internet du OFEN (fichier pdf)
